La duplication du modèle Technopark se poursuit. Après Casablanca en 2001, Rabat en 2012, Tanger en 2015 et Agadir en 2021, Lamiae Benmakhlouf, Directrice générale du Moroccan Information Technology Compagny, société gestionnaire des Technoparks Maroc a acté l’ouverture du prochain Technopark à Oujda.
« Nous souhaitons soutenir et accompagner les porteurs de projets innovants dans leur région. Au-delà de la ville de Oujda c’est toute la région de l’Oriental qui regorge de capacités et de potentialités entrepreneuriales. Notre devoir est de les aider et leur offrir une plateforme et des services d’accompagnement pour favoriser leur réussite ». Explique Mme Benmakhlouf.
S’étendant sur une superficie de près de 4000 m2, avec une capacité d’accueil de plus de 60 startups en mode plug & play, Le Technopark d’Oujda est le fruit d’un partenariat public- privé impliquant outre, la société de gestion des Technoparks (MITC) Moroccan Information Technology Compagny, la Région de l’Oriental, la Wilaya, le Centre Régional d’Investissement et l’Université Mohammed 1er.
Les critères d’éligibilité s’appliquent à l’ensemble des porteurs de projets opérant dans les Technologies de l’information, Green Tech et les Industries culturelles et créatives. Ils pourront profiter des services d’hébergement, de coaching, de la mise en relation avec le réseau Technopark dans toutes les villes du Royaume avec une facilitation à l’accès au marché et au financement.
A l’instar des autres Technoparks, celui de Oujda, sera installé dans le centre-ville (Bâtiment abritant l’ancien siège de la Banque Populaire) et sera proche de l’ensemble des administrations et des commodités qui facilitent le quotidien des entrepreneurs. Il accueillera au-delà des startups, les porteurs de projets et les auto-entrepreneurs.
La convention prévoit également une étroite collaboration avec l’Université Mohammed 1er afin de faciliter le rapprochement entre l’Entreprise et l’Université et encourager la création d’entreprises innovantes au niveau de la région de l’Oriental via la valorisation de la recherche et le processus d’incubation.